• Ou réalité.

    Je crois que c'est un peu trop gros à supporter à l'intérieur, et que la première de l'année ne se sera pas fait attendre. Pas aussi rapidement que l'année qui vient de s'achever, tout de même. Je crois que je suis submergée, un peu trop. Assez pour déborder, et craquer, aussi. J'ai beau dire que rien n'a d'importance, j'ai du mal à y croire, de plus en plus.

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    Trop de chose me manque, trop de chose me pèse. Si je pouvais, je dirais bien qu'elle n'est qu'une garce, qu'il n'est qu'un bâtard, qu'il n'est qu'un lâche, qu'il n'est qu'un connard. Mais ils sont censés être ma mère, mon frère, mon père et puis. Il paraît que c'est indécent.

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    Je suis devenue un peu trop inconnue à ses yeux, ça fait mal, juste là où il ne faut pas. Je prends tout un peu trop à cœur, sans doute, sûrement. Il dit trop de mot de trop, dans si peu. Elle n'en dit pas assez, dans tellement.

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    Et puis je suis trop conne pour y mettre des mots.


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