• [...]* Et qu'on pensait que le temps n'était pas aussi mesquin.

    J'aurais compris que le jour où l'on s'égare, on ne se retrouve plus jamais. On a beau essayer de serrer les mains un peu plus fort, de redouter les lendemains, on se retrouve toujours au même endroit. Le même endroit en un peu moins beau, en un peu plus froid. Chaque jour un peu plus de distance malgré tous les efforts pour se rapprocher.

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    Les efforts n'y changent rien, je crois. Le naturel manque trop vite, les doutes sont trop présents, l'intéressé est trop absent. Mais on y croit. Parce qu'on s'est aimé, qu'on est obstiné, naïf et un peu con. [...]*.

    <o:p> </o:p>

    Un entêtement qui nous enferme dans un cercle si vicieux que l'on s'y plairait presque. Autour, plus rien ne compte. Même si les yeux sont grands ouverts, tellement ouverts que tu as entièrement conscience que ce n'est plus possible, qu'il faut absolument arrêter de le chercher, tu continu de te dire « Et si on faisait ça, peut-être que... ». Parce que tout au fond, on continu d'y croire, on ferme les paupières aussi fort que possible pour ne pas voir que l'amour n'est plus le même.

    <o:p> </o:p>

    Ou qu'il est tout simplement disparu.


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